Portée par les traces de ses aïeux, auteurs, compositeurs et conteurs d’un village des montagnes de Kabylie, Miss Awel (« la parole » en kabyle) décide de perpétuer la tradition orale amazighe par le chant et l’écriture qu’elle commencera déjà toute jeune.
En quête de lumière pour nourrir son inspiration, elle élira Nice comme port d’attache à son beau parcours et débutera sa carrière avec le compositeur brésilien Marcus Cecconi alors résident de la Riviera. Ensemble ils réaliseront un projet soul où l’on sentira les prémices latino-orientales des origines des deux artistes.